Je n'ai pas regardé le dernier « documentaire » « sale temps pour la planète », tout simplement parce qu'il est un pur produit de l'économie et de la publicité télévisuelle.
Dans ces reportages, l'intérêt primordial est de vendre quelque chose aux téléspectateurs, quoi que ce soit, mais il faut qu'ils achètent.
L'économie capitaliste mondiale continue son foutage de gueule, les informations des incendies de presque tous les territoires ne les atteignent pas. Le bla-bla de leurs « commerciaux » de merde qui gouvernent les pays se permet toutes les audaces. « Lettre Oddyssée vers 2030 n°32 », ça en jette ces couleurs des 17 ODDs dans les roues d'un vélo…mais dans les faits, l’ODD N° 1 fait toujours la gueule en broyant constamment du noir !!!!
Le bla-bla, c'est par exemple « Les nouveaux indicateurs de richesse ». Pour orienter les peuples vers de nouvelles richesses, il faudrait au minimum supprimer les anciennes, impossible pour notre président et son gouvernement qui leurs doivent leurs places. Dans le cadre de ce document, la partie environnementale vient de « L’empreinte carbone Note préalable à l’élaboration du quatrième rapport gouvernemental annuel au titre de la loi dite ''SAS''».
Le bla-bla, c'est encore « un autre monde est possible ».
Mon Dieu, de mettre au propre tout cela pour le publier m'empêche d'attendre la fin de mon message comme prévu pour dire que je tiens le coup grâce à la grâce de Marie [et la comédie musicale Bernadette de Lourdes, émission KTOTV].
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Un autre monde est possible - Lost in transitions [Note de lecture]
Un autre monde est possible. Lost in transitions, Gilles BERHAULT, Carine DARTIGUEPEYROU. Éditions de l'Aube, 2018.
Comment tracer les pistes d'un nouveau monde à partir des (nombreux) défis de la transition écologique et solidaire ? Pendant deux ans, un collectif d’experts, de responsables économiques, de scientifiques, d’acteurs engagés, s’est réuni au sein du laboratoire de la Fondation des transitions pour débattre et croiser différentes visions d’un possible avenir commun. L’intérêt et l’attrait du livre résident dans la multiplicité des solutions et des imaginaires rassemblés
). Hé bien continuez de vous réunir et d'imaginer…..
Pareil mensonge de l'esprit des dirigeants actuels qui nous prennent pour des cons en intitulant un projet Sorry Children alors qu'ils essaient de nous faire croire qu'il faut ''agir plutôt que de s'excuser''. Pourquoi alors ne n'ont-ils pas appelé ActUpSeniors ?? [Sorry Children : générateur d'excuses, mais surtout d'actions
Créé afin de susciter de l’espoir et de l’engagement, le site Sorry Children veut bousculer les consciences sur la responsabilité que chacun porte dans la destruction de la planète. Ses créateurs ont fait le choix de l’humour noir pour amener le plus grand nombre à s’impliquer dans un grand sursaut de responsabilité et d’action.
Les internautes choisissent le niveau d’engagement qui leur correspond. Chaque choix génère des excuses adaptées qui, bien que largement contestables, pourront toujours être utilisées lorsque les générations futures demanderont des comptes. Mais plutôt que d’avoir à se justifier demain, chacun peut dès aujourd’hui aller sur les pages “Agir plutôt que s’excuser” qui recensent les actions à mener et “Pourquoi nous allons devoir nous excuser” qui dressent un bilan de l’état de la planète à partir de données scientifiques.
Un développement est prévu pour enrichir le site, notamment avec un calculateur d’engagement personnel et une application web libre qui permettra à chacun d’enrichir la partie “Agir plutôt que s’excuser” du site.].
Le prétexte de l'humour noir ne tient pas, osez-donc le défendre devant ceux qui ont subi les incendies, inondations et autres catastrophes climatiques et qui ont perdu tout espoir !
Comment faire pour supporter toutes ces injustices ? Comment ne pas avoir honte ?
Je n'ai pas la réponse, je trouve juste un peu de réconfort en écoutant « Aquero », et des frissons d'amour (c'est encore plus fort en écoutant le CD, je l'ai vite acheté à sa sortie le 19 avril).
Bruno