Depuis que j'ai repris l'envie de communiquer sur les méfaits du tabac, je trouve de bonnes raisons d'en parler.
Mais autant quand Maya alimentait sa communauté avec sa lutte, je proposais des articles positifs,
depuis son départ suite à sa rechute, je n'ai plus que des sentiments de velléité face à cette clope ambassadrice de l'enfer.
En rangeant de nombreux dossiers, je consulte des documents que j'avais gardé pour leur image significative.
Comme par exemple:
- magazine gratuit le « Petit Capitole » N°10 de janvier 2006 avec en dernière de couverture la reproduction d'une affiche représentant ce que les petits toulousains pensent des mégots de cigarette. Je l'adore pour sa composante développement durable et le texte en petit (un mégot met 50 ans à disparaître...)
- directsoir du 8 janvier 2008 qui publiait en dernière page un message de prevention-tabac.com avec une incitation de « bonne résolution pour 2008: TABAC, j'arrête avec l'aide mon médecin »
On est en été, et malgré l'actualité morose, les jeunes semblent heureux. Ils font la fête, l'année à été rude. Mais combien ne fument pas ? Mais combien ne pensent pas une seconde à leurs petits frères ou sœurs ou neveux et nièces qui réprouvent cette saloperie de clope.
Pourquoi ne pensent-ils pas à leurs propres futurs enfants et toutes leurs heures de tristesses et de souffrances qu'ils se préparent, à l'exemple de Maya qui elle y a pensé et a voulu l'exprimer bien fort ?
Parce que la société mercantile du tabac est bien trop forte et que les ainés sont encore plus « endoctrinés » par cette secte.
Je pense toujours à Maya et j'espère qu'il en est de même de ses correspondants de l'époque de sa lutte.
Il ne faut pas que sa résistance et ses souffrances s'oublient. Alors au moins une fois par mois, j'essayerais de poster un message.
Bruno