Merci à la bibliothèque de Cabanis à Toulouse qui a déployé ce mois de mai 2015 une exposition avec le thème « 50 nuances de vert ».
J'y ai trouvé un livre extraordinaire qui me correspond tellement que je viens le citer après en avoir lu seulement quelques pages.
Il s'agit de « Comment la mondialisation a tué l'écologie » par Aurélien Bernier en 2012.
Il commence en m'apprenant la conférence de Cocoyoc en octobre 1974 au Mexique.
Il écrit en 4° de couverture: « ...Il est grand temps de faire tomber les masques et de raconter en détail l’histoire politique, totalement méconnue, qui révèle la supercherie d’une prétendue conversion à l’écologie des grands de notre monde. »
Et page 30, dans l'introduction si riche qu'elle donne toutes les clés et que je n'en reproduit qu'une, il révèle : « ...Pourquoi le Club de Rome est-il soutenu par la puissance famille de banquiers, les Rockefeller, pour produire dès 1972, un rapport sur l'écologie ?.... »
À la fin du livre, il reproduit la traduction de la déclaration de Cocoyoc dont j'ai donné le lien ci-dessus. Je tiens à en extraire deux phrases: « Une croissance qui bénéficie seulement à la minorité la plus riche et maintien ou accroît les disparités entre et au sein des pays n’est pas du développement. C’est de l’exploitation. »
Depuis 2012 et la sortie de ce livre, nous avons eu de très nombreuses élections tant en France qu'en Europe et dans le monde. Quel parti politique candidat lors de ces différentes élections a pris position en s'appuyant sur cette déclaration de cette conférence de Cocoyoc ?
Aucun ?
Le pouvoir des Rockefeller et consorts est le plus fort !
Tout parti politique un tant soit peu organisé dépend tellement de l'argent qu'il est pieds et poings liés. Et même le peuple, la masse des peuples de la planète, est bernée par les tout-puissants. Les nouveaux réseaux sociaux qui auraient pu servir cette cause planétaire de survie de l'humanité, ces mirifiques réseaux sociaux ne véhiculent que du buzzz et de l'audimat qui se transforment en publicité et en argent.
Les peuples sont zombifiés par ces réseaux avilissants, ils n'ont plus d'autre avenir que la mort.
Même Aurélien Bernier et ses amis me semblent impuissants à renverser le système.
D'ailleurs dans le livre, que je viens à peine de commencer, j'ai cherché en vain dans la table des matières des traces de la décadence qui entoure les puissants, je pense au Q, à la drogue, aux guerres et dans une moindre mesure les religions.
Pour arriver à changer quelque chose, il faudrait tout-à-la fois combattre et changer ces quatre composés sataniques => mission impossible.
GAIA lucide et éclairée au moment de rendre l'âme ?
Bruno