Le Journal Toulousain

Je l'achète de temps en temps, pour me changer les idées par rapport au dérèglement climatique (j'ai cueilli une superbe rose  ! ce 24 décembre dans mon jardin au cœur de Toulouse).

Mais on ne se refait pas. Je l'achète surtout parce que j'apprécie sa lecture. D'abord la tribune libre de Monsieur Francis Manaud: culture, histoire, économie, il sait de quoi il parle et il n'hésite pas prédire un avenir très court terme au projet de réforme de « supprimer l'enseignement de l'histoire en classe S ».

Et puis dans ce N°393 du jeudi 17/12/09, j'y ai lu l'analyse politique de Monsieur Stéphane Beaumont, intitulée « Noël de crise » où il conclut « Le temps est-il déjà à la rechute, à l'arrêt de la croissance et à la baisse brutale de l'activité ? ».

J'y trouve plus loin une pleine page d'une publicité surprenante « Qui sait qu'un des principaux moteurs de notre pays est à but non lucratif ? ». Je ne le sais que trop bien puisque je m'y implique fortement depuis presque 20 ans, dans ce milieu associatif diversifié que j'ai connu allant du club sportif à l'entraide aux défavorisés de l'emploi, mais aussi à l'éducation avec la sécurité routière ou d'autres avec la culture et l'engagement responsable voire humanitaire (conférence de la vie associative).

Bien d'autres articles méritent d'être cités tel « la planète de Gérard Arnaudé » qui parle de REACH et les risques sanitaires inhérents aux pesticides retrouvés dans les vins.

Mais ce qui a motivé mon message reste l'espace culturel en fin de journal qui analyse les sorties cinéma, avec « LA FIN DE LA PAUVRETE ?»

Je pense que je vivrai la fin de la pauvreté dans le monde, en même temps que la fin de l'égoïsme, la fin de la cruauté, la fin de la bassesse et de l'ignominie, la fin des richesses et de la cupidité; la fin de l'humanité assurément.

Bruno