Il faut arrêter de rêver. L’argent ne reconnaît que LA FORCE comme contre-pouvoir.
Et donc la finance prépare le conflit guerrier et brutal car l’argent n’a d’intelligence que le profit infini et non pas le bonheur social.
Article « Les ONG quittent les négociations de la conférence mondiale sur les changements climatiques »
Ne soyez pas inquiets pour les dirigeants du monde, Davos les accueillera encore avec le sourire et les poches bien pleines.
Les riches s’attendent à faire la guerre, en rigolant et en pensant au précepte qui dit que l’argent est le nerf de la guerre. Sauf qu’ils ne connaissent pas le pouvoir de résignation et de désillusion de la misère encore plus jusqu’au-boutiste car sans possibilité de choix (mourir ou mourir !).
Mais qui pour prendre le relais des pauvres français de la révolution de 1789 ?
Car là il doit s’agir d’un mouvement mondial.
Je ne vois ni les chinois ni les africains capables d’un tel soulèvement et rassemblement.
Ni les ONG, même toutes réunies et que je félicite pour cette unisson.
Je ne vois que la terre capable de massacrer cette vermine financière et pollueuse à outrance.
Je ne vois qu’une solution à court terme pour déclencher le courroux de GAIA.
Je ne vois que le revirement de tous les pauvres à se mettre à polluer de la même façon que les riches (à leur petit rythme, malheureusement) pour accélérer la déchéance climatique.
Je ne rêve plus de développement durable, et encore moins de décroissance, car j’ai compris que tous les efforts que nous pourrons faire seront automatiquement contre balancés par les profiteurs (qui profiteront à « qui mieux-mieux »).
Si on arrêtait tous de trier nos déchets et qu’en 6 mois on constate une pollution accrue de 25%, les décideurs pourraient prendre un peu peur et décider de faire quelque chose. Comme tout ce qu’un décideur envisage représente de l’argent, comment pourrait-il financer cette envie de sauvegarder SON environnement ? En taxant encore plus les pauvres et donc en attisant la révolte, mais le spectre d’une révolution coupeuse des têtes dirigeantes pourrait l’inciter à diminuer sa quote-part.
LA SOLUTION est de leur faire comprendre qu’en cas d’aggravation climatique poussée, les riches n’auront aucun paradis pour se replier à l’abri des éléments déchaînés.
Je vois le climat réagir à l’image d’une toupie qui arrive en perte de vitesse et qui fait de violents écarts d’équilibre avant de stopper son mouvement de rotation si beau quand il est serein. Faites donc tourner une toupie et imaginez à la fin un coup de typhon à droite, un coup de tornade à gauche et rebelote un nouveau coup de tsunami à droite. Relancez la toupie et soufflez-lui dessus ou touchez-la avec un doigt => bing-boum.
Toupie.org, sensationnel.
Bruno