La communication par internet, c'est bien et économique (du moins en encre et papier).
Quoique, un ardent défenseur de la version magazine pourrait décortiquer en vision globale ce que coûte la version web (du papier et de l'encre pour le projet de conception du site, idem pour les serveurs hébergeurs et l'architecture du réseau internet, les multiples impressions par les visiteurs sur du papier non recyclé et avec du gaspillage par les marges, une impression, non recto-verso ou quelques lignes sur une page blanche....)
Donc, je ne critique pas cette version papier.
D'autant qu'elle possède des avantages:
- transportable léger
- on peut l'annoter
- on va surtout la montrer à notre entourage
- sa lecture se fait à l'abri des pannes de PC, de saturation du réseau internet ou de coupure d'électricité
- on trouve plus facilement les articles (sur le site web, qui est sûr à 100% du moteur de recherche, et qui consulte le plan du site ?)
- on repère aisément son avancement de lecture (marque page) alors qu'avec internet on clique un peu au hasard.
Alors j' y ai trouvé:
- page77 un article sur eco-tube.com, frère écolo de youtube
- dernière page, des rendez-vous très bien
Mais tout ne me convient pas, surtout le dossier sur la voiture verte.
Car ils proposent dans l'encart « des folies qu'on utilisera peut-être » l'air comprimé avec l'Airpod de Guy Nègre, et surtout le paradis électrique ! Avec dans leur palmarès la Toyota prius (quelle honte de dénigrer le comparatif toyotaprius/hummer). Ma prochaine voiture sera une MDI à air comprimé.
Autre dossier qui ne recueille pas mon assentiment, l'enquête et le palmarès des présidents « carbonés ».
TerraEco se limite aux voyages ! Une goutte d'eau dans leur océan de pollution, rien qu'avec les décisions politiques qui génèrent des débats ubuesques à l'assemblée et des manifestations monstres des citoyens. Sarkozy génère des millions de tonnes de CO2, rien qu'avec sa vie people (mobilité des journalistes, pollution par les médias, protection policière....).
Même ma propre tirade quelque part pollue un peu.
Bruno