Les merdias ne peuvent plus diffuser que des messages guerriers. Qu’on lise LeMonde, LesEchos, Marianne, LeCanardEnchainé, Libération ou LeFigaro, qu’on regarde les infos télévisées ou qu’on écoute la radio, la « guerre » est partout.
Depuis 50 ans, le monde riche occidental a en permanence optimisé la gestion de ses déchets en la donnant aux pays du tiers monde. Alors, ces peuples pauvres finissent par se rebeller et rendent la monnaie en important les drogues et les conflits de culture. Ces trafics généreront toujours des conflits de plus en plus violents.
Damoclès étant dépassé par cette agitation, l’épée qui le menace va tomber d’un coup.
La gangrène est semée dans le monde occidental (la drogue, le sexe, le pognon... « le veau d’or »), elle ne sera éliminée que par une purification totale et un anéantissement de toute vie qui l’accueille.
Je ne crois plus à une solution durable, il faudrait une centaine de nouveaux « Abbé Pierre » par pays pour retourner la situation et sauver l’humanité. Une lecture passionnante m’interpelle : « L’acropole d’Athènes » collection Les passeports de l’art par les éditions ATLAS. Lire sommairement les guerres antiques de l’époque mycénienne, 1500 avant J.C., qui déjà avaient pour raison de ces guerres le désir de s’approprier les beautés féminines et celle de la nature, et savoir que le christianisme a créé bien plus tard des édifices encore plus somptueux que l’Acropole (Saint-Jean de Compostelle, Saint-Pierre de Rome…), ne suffit pas pour me convaincre de la survie de l’humanité. Aujourd’hui, la guerre économique pour obtenir les pleins pouvoirs financiers pour « s’acheter » les plus belles femelles de la planète ne peut plus s’éteindre que par la disparition de tous les mâles assoiffés de sexe.
Le principe « sauve qui peut, moi d’abord » va s’imposer en quelques années. Plus personne ne devrait investir pour sauver les communautés, la déchéance mondiale économique devrait accoucher de l’ultime guerre mondiale Nucléaire, Radiologique, Bactériologique et Chimique. Je rajouterais un E à ce sigle NRBC pour en faire le NERBC, le E signifiant Ethnologique.
Bruno