Dans cette chanson qui dénonce la folie qu’anime les dictateurs, il est question de la fin du tyran qui envisage de tout faire péter en même temps que sa mort pour qu’il ne reste rien après lui.
Je pense que Nicolas Hulot a dû se poser cette question : qui pourrait bien être mis à sa place, et pour continuer quoi ?
Mais comme il n’a pas l’âme d’un dictateur au contraire de ses 2 chefs, il a préféré céder et sauver son âme plutôt que la donner aux diables. Tant pis pour la suite court terme de ce qu’il avait tenté d’initier. C’était quelque part voué à l’échec, mais il n’avait pas vraiment voulu entendre les mauvaises langues d’alors quand il avait accepté la mission. Notre ministère de l’environnement devient tellement central (il s’occupe de tout de manière transverse) qu’il serait même possible que Macron se l’approprie, affirmant qu’il n’a aucun « pantin » suffisamment costaud à mettre comme ministre. Et j’en reviens au dictateur. Normalement, un ministre est en poste pour étudier les dossiers dans le détail et faire des propositions au gouvernement et au président en tant qu’expert. Mais pour l’environnement qui devient politiquement très critique, Macron décidait de tout sans écouter son ministre, alors Nicolas Hulot bien plus éclairé que le président a su s’extraire de cette imposture.
Macron psychopathe (thèse du professeur Adriano Segator), Macron révélé aux français par Nicolas Hulot, je dis MERCI.
Dernière strophe de la chanson Le Dictateur :
« Je suis le dictateur
Et quand viendra mon heure
Je ferais tout sauter
Je serais bien vengé
Car moi le dictateur
Je suis saisi d'horreur
En pensant, qu'après ma mort
La vie continuera encore. »
Je le félicite pour son courage, et j’espère qu’il fera à Macron le même coup que celui-là a fait à Hollande.
Bruno