Bravo, vraiment bravo au Général Soubelet. Vive l'égalité, vive la liberté, vive la fraternité !
Je partage totalement les avis et écrits de Jacky Mestries (politique-actu) à son propos, ainsi que ceux d'Alexandre Malafaye (figarovox, 18 avril 26 avril).
Je suis né 10 jours après le Général, je lui tire mon chapeau pour son engagement de toute une vie et l'aboutissement de sa carrière mais surtout pour sa probité envers le peuple au détriment des politiques.
J'espère que son livre « Tout ce qu'il ne faut pas dire » se vendra à plusieurs centaines de milliers d'exemplaires et qu'il en préparera un autre « Tout ce que les politiques ont exigé de ne pas dire ».
Le Général Soubelet a sans doute commencé sa carrière dans les années Mitterand. Il a donc connu les utilisations des forces de l'ordre pour protéger silencieusement les doubles vies des politiques au pouvoir. Tous ces petits arrangements aux bénéfices des politiques sont forcément au détriment des citoyens, ne serait-ce que financièrement !
Il est temps que cela cesse et qu'un grand balayage intervienne.
J'ai moi aussi subi cette mise au placard puis licenciement au sein d'une grande entreprise nationale, car j'avais comme le Général Soubelet osé dire ouvertement que la situation comportait des dysfonctionnements du fait de certains responsables carrément laxistes et incompétents.
J'ai su très rapidement la valeur de ma franchise, car ma mise au placard par mon supérieur N+3 imposait à mon N+1 de reprendre l'intégralité de toute mes fonctions à son compte, lui qui « n'en foutait pas une » !
J'avais oeuvré pour l'égalité des français car ce fonctionnaire était grassement payé à se prélasser, alors que d'autres se tuaient à la tâche (suicides à France-Télécom).
Le Général Soubelet a raison de critiquer la baisse des effectifs affectés à la protection des citoyens alors même que les protections des vies privées et doubles vies annexes des politiques et de leurs amis doivent plutôt augmenter.
Je le verrai bien se lancer en politique, pour contribuer de l'intérieur au « grand ménage » indispensable et qui se profile à partir de 2017.
Bruno.